
Alors, on te voit plus aux soirées ? Pour une santé communautaire.
Lettre ouverte par temps de pandémie. A tou-te-s les camarades insouciant-e-s qui se demandent pourquoi je n’agis plus avec elleux.
Lettre ouverte par temps de pandémie. A tou-te-s les camarades insouciant-e-s qui se demandent pourquoi je n’agis plus avec elleux.
La 11 janvier, de nombreu·ses soignant·es des domaines de la santé et du médico-social étaient en grève pour obtenir de meilleures conditions de travail. Quelques manifestantes nous racontent pourquoi elles se sont mises en mouvement. Elles reviennent sur les conditions de travail dans les établissements dijonnais, et particulièrement au CHS de la Chartreuse.
Le terme a surgi dans le langage politicien en septembre, suite à un discours de la ministre du logement et à la publication du Rapport Rebsamen. Décryptage et généalogie de la densité heureuse.
14 mars 2020. « Le risque n’est pas individuel, mais populationnel », dit un médecin réanimateur. « Populationnel » ? Qu’est-ce qu’il a bien pu vouloir dire ? Du premier confinement au passe sanitaire, retour sur des interrogations liées à la crise sanitaire.
Les critiques du passe sanitaire dénoncent unanimement un « danger autoritaire ». Assez justement, la CNIL elle-même présente ce danger comme « le risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée et de glissement, à l’avenir, et potentiellement pour d’autres considérations, vers une société où de tels contrôles deviendraient la norme et non l’exception ». Prenons un instant pour détailler ce danger et répondre à la question : de quel type de surveillance le passe sanitaire est-il l’expression ?
Face à l’ampleur des polarisations actuelles – souvent réduites à des conflits entre « pro » et « anti » vax – il est bien difficile d’adopter une position politique claire.
Samedi 17 Juillet, des appels à manifester sont lancés partout en France contre le pass sanitaire, la réforme des retraites et celle de l’assurance chômage.
Aucune hésitation n’est possible. La rue doit aussi être prise par celles et ceux qui portent les valeurs de l’autonomie, de l’autogestion et de l’antifascisme.
La popularité de discours complotistes dans les pays économiquement prospères, comme des « résistances » aux mesures visant à ralentir la circulation virale, nous interroge sur la situation actuelle. Qu’est-ce qui pousse certaines personnes à considérer que cette épidémie n’est pas réelle ? Comment comprendre l’insistance sur l’idée d’un « complot » ou d’une « grande réinitialisation » qui seraient nécessairement à l’origine des mesures prises pour endiguer la propagation du virus ?
Si nous ne rejoignons pas les "anti-masque" ce n’est pas par peur d’être traité de « complotistes » mais parce que nous nous opposons à leurs discours et au champs politique dans lequel ils s’inscrivent.
Alors que les Jardins de l’Engrenage viennent de vivre une semaine de bataille acharnée contre la destruction des dernières parcelles de terre arable, voici un petit historique de l’année de lutte qui vient de s’y écouler à travers les articles parus sur dijoncter.
Réaction à la dévastation des Jardins de l’Engrenage, par l’Atelier d’écologie politique « Penser les transitions » (université de Bourgogne-Franche-Comté).
La loi sécurité globale a été définitivement adoptée jeudi 15 avril par l’Assemblée nationale, à 75 voix contre 33, au terme d’un débat soumis aux exigences de la police et dont nous n’attendions plus grand chose. La prochaine étape sera l’examen de la loi par le Conseil constitutionnel.
« La non-mixité est un acquis du mouvement social depuis le XIXe siècle, défendons-la pour toutes et tous ! » Un ensemble d’organisations féministes, LGBTI et syndicales demande le retrait de l’amendement sur les réunions en non-mixité racisée et de la loi « séparatisme ». La non-mixité est une pratique historique qui a permis de nombreuses avancées, et dans un contexte d’offensive raciste, « il est primordial de nous ranger aux côtés des organisations antiracistes », ajoutent-elles.
« Cette crise et sa gestion ont souligné le manque constant de moyens pour le bon fonctionnement du Service public d’Éducation. La CGT Éduc’Action 21 demande un plan d’urgence pour l’Éducation intégrant un recrutement massif de personnels fonctionnaires, le recrutement de tous les candidat·es sur listes complémentaires et un plan de formation et de titularisation de tous les personnels précaires. »
Véritable fourre-tout répressif, la loi « confortant les principes de la République » s’en prend particulièrement au secteur associatif. Entre chantage aux subventions et possibilité accrue de dissolution des associations frondeuses, ce texte est une arme de musellement massif. Décryptage.
La semaine dernière dans le Journal du Dimanche, la secrétaire d’État à la Jeunesse et à l’Engagement s’en est pris à deux associations d’éducation populaire. En cause ? Un débat entre la secrétaire d’État et des jeunes où ces derniers se sont montrés un peu trop indociles sur les questions de discriminations. Communiqué de Solidaires Jeunesse et Sports, en soutien à l’association et à la fédération visées !
Carnet audio fabriqué à partir d’une collecte de rêves vécus durant le premier confinement.
Une nouvelle émission radio de Sortir du capitalisme, qui va aux racines du capitalisme producteur de dérèglement climatique et de pandémies à partir du livre La chauve-souris et le capital d’Andreas Malm.
Dans un film réalisé par Karine Parrot et Stéphane Elmadjian, sept juristes décryptent la loi Sécurité Globale.
Le 12 janvier 2019, Cesare Battisti était arrêté par la police bolivienne. La France était à ce moment là secouée par le surgissement des Gilets Jaunes. Deux ans après, c’est l’occasion de revenir sur le traitement médiatique appliqué à l’ex-guerillero en le confrontant à celui qui traitait du mouvement social en cours.