
Une seule dissolution en vue : celle du gouvernement
Texte de plusieurs collectifs legal team et antirép contre la dissolution annoncée de la Defco de Rennes.
Texte de plusieurs collectifs legal team et antirép contre la dissolution annoncée de la Defco de Rennes.
Dans la continuité des « lois antiterroristes » et des dernières lois sécuritaires (lois dites « anti-casseurs », « Sécurité Globale » ou encore « Séparatisme ») et plus largement de la politique du contrôle permanent, la politique de l’État continue sur sa lancée avec la Loi d’Orientation et de Programmation du Ministère de l’Intérieur (LOPMI).
Réponse des soulèvements de la Terre à la trumpisation accélérée du ministre de l’intérieur dans le JDD
L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques a été adopté le 23 mars par l’Assemblée, actant l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français. À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées.
« Et tout le monde déteste la police ! Et tout le monde déteste la police ! ». Qui n’a pas entendu scander ce mot d’ordre en manifestations, rassemblements, occupations, lors des confrontations en tête de cortège, lors des charges aveugles des voltigeurs ou bien même lors de manifestations entières nassées par des cordons sur trois lignes de CRS surarmés et sur les dents.
Ce texte a été fait principalement à partir d’un compte rendu de formation sur la question de téléphonie mobile, complété avec des bouts trouvés sur internet, car de manière générale on manque de ressources sur cette thématique dans les milieux militants.
Les États, dans leur rôle de répression des individus et groupes pratiquant des activités subversives, déploient un certain nombre de moyens pour surveiller ces individus et ces groupes. Il semble qu’une partie de cette surveillance passe par la dissimulation de dispositifs de surveillance dans des espaces de vie.
Décryptage d’une propagande contre-insurrectionnelle depuis le buzz médiatique de l’attaque des méga-bassines [Enquête Critique]
Face à la criminalisation des luttes écologistes que tente d’opérer le gouvernement, plus de 3000 signataires s’engagent à rester solidaires des luttes écologistes radicales. Un texte signé localement par, entre autres, l’espace autogéré des Tanneries, le quartier des Lentillères, et les Jardins de Vaîtes.
50 questions que la DGSI pose en garde-à-vue antiterroriste.
Le collectif « Stop Contrôles » dénonce l’utilisation du numérique par la CAF pour contrôler et exclure les bénéficiaires. Un article de La Quadrature du Net.
Comment expliquer que les pratiques actuelles de fichages aient pu émerger et s’ancrer si profondément dans les rouages de l’administration au point qu’elles échappent à tout véritable contrôle ? Nous revenons ici, sans prétention d’exhaustivité, sur l’évolution à travers le temps du fichage en France.
Le collectif Niet !éditions a le plaisir d’annoncer la sortie de « Un peu de bon sens, que diable ! – Notes sur l’enfermement sensoriel » du collectif La Brèche.
Prisonnière d’une cellule, de son corps, du silence, de son foyer ou de son histoire... l’enfermement des femmes, réel ou symbolique, connaît malheureusement beaucoup de variété. Les Morveuses suivent les traces des femmes enfermées dans la prison d’Autun et se fraient un chemin vers la liberté.
Ce texte écrit par le collectif Écran total est un appel à créer partout où c’est possible des comités de soutien aux inculpés du Limousin et autres inculpés accusés d’atteintes aux infrastructures du numérique.
Depuis le début de l’année au moins 7 personnes sont mortes sous le feu de la police, dans leurs véhicules au motif de « refus d’obtempérer ». Le dernier drame a eu lieu à Vénissieux.
Brochure sous-titrée « Répression et incendies de véhicules » produite en solidarité avec un compagnon anarchiste récemment incarcéré à Villepinte, accusé d’incendies de véhicules.
Donner une identité fictive ou imaginaire en garde à vue devient de plus en plus risqué. Les flics peuvent savoir très vite qu’elle est fictive et ont désormais le pouvoir de vous contraindre, par la force, à prendre vos empreintes digitales et de vous tirer le portrait. Conseils à méditer collectivement !
Retranscription d’une conférence de Sarah Vanuxem dans le cadre du séminaire « Fragmenter l’urbain » qui s’est tenu en avril 2019 aux Tanneries. Elle revient sur les possibilités d’aller chercher dans le droit des manières de redéfinir juridiquement la propriété de la terre.
La surveillance de nos rues est devenue totale : vidéosurveillance généralisée, fichage de masse, reconnaissance faciale et détection automatisée de comportements. Pour mettre un coup d’arrêt à cela, nous lançons une plainte collective contre le ministère de l’intérieur.