Des parents de l’école Champollion font barrage en solidarité avec les enseignantes en grève
Une dizaine de mamans d’élèves de l’école Champollion des Grésilles s’organisent pour soutenir le mouvement en cours.
Une dizaine de mamans d’élèves de l’école Champollion des Grésilles s’organisent pour soutenir le mouvement en cours.
La semaine dernière le Dasen (Directeur académique des services de l’Éducation nationale) de Saône-et-Loire et ses représentants ont tenté d’empêcher des accompagnants d’élèves en situation de handicap de participer à une réunin d’information syndicale.
Devant le mépris affiché face aux revendications légitimes des AESH lors des entrevues du 20 novembre dans les DSDEN et au Rectorat, l’intersyndicale de Côte d’or donne rendez-vous aux AESH pour une réunion d’information syndicale sur le temps de travail.
Le 5 décembre débute la grève, qui semble être suivie de près par nous autres, assistant.e.s d’éducation. Dans plusieurs collèges et lycées, la vie scolaire n’ouvrira certainement pas le 5 décembre, le 6 le 9... Nous avons sans doute un enjeu à nous rencontrer, à discuter et surtout à nous organiser.
Mercredi 27 novembre, deux des auteurs de « Critiques de l’école numérique » seront aux Tanneries pour présenter cet ouvrage et discuter de l’invasion du numérique dans les écoles, du primaire au supérieur.
Vendredi dernier, un étudiant lyonnais s’est immolé par le feu en dénonçant la précarité des conditions de vie étudiantes.
À l’appel du syndicat Solidaires Étudiant·e·s, une centaine de personnes se sont réunies place du Bareuzai mardi 12 novembre pour dénoncer cette situation.
Les représentant-es des personnels de l’académie de Dijon expriment leur indignation et leur inquiétude sur la situation des élèves mineurs et jeunes majeurs étrangers scolarisés dans l’académie de Dijon.
Absence de revalorisation salariale, temps partiel imposé, heures de travail gratuit, absence de contrat de travail ou contrats illégaux, pression, chantage, mépris... La mobilisation des AESH continue pendant le mois de novembre. Deux rassemblements sont annoncés devant le lycée Castel et devant le rectorat.
À la suite du suicide de Christine Renon, le SNUipp-FSU21 organise un rassemblement devant le rectorat jeudi 3 octobre à 17h15, plusieurs syndicats appellent à rejoindre la manifestation.
Nous sommes lycéen·nes et la région nous prive d’aide pour financer nos manuels scolaires. Le fossé de l’inégalité se creuse davantage entre nous, éleves des 131 établissements de Bourgogne-Franche-Comté.
Le 5 septembre 2019, l’université de Bourgogne accueillait la désormais traditionnelle université d’été du MEDEF 21, avec la classe habituelle : privatisation des locaux, subvention de 10000 €, accueil par des hôtesses précaires et sous-payées, publicités pour des voitures… La thématique cette année : open bar.
« En cette période d’austérité budgétaire, il est affligeant de constater que l’université de Bourgogne préfère investir dans ce type de gadget et communiquer massivement à leur propos plutôt que de financer des heures de cours. »
Lettre ouverte au Vice-Président numérique de l’Université de Bourgogne
Gvantsa a été libérée le mercredi 28 août suite à une décision du juge des libertés et de la détention du TGI de Metz, mais reste expulsable. Gvantsa a besoin de tous les soutiens possibles pour obtenir sa régularisation.
Professeurs, élèves et associations se mobilisent pour empêcher l’expulsion de Gvantsa. Cette jeune dijonnaise d’origine géorgienne, élève du lycée Hippolyte Fontaine, a été interpellée samedi matin alors qu’elle se rendait au commissariat pour pointer, comme la loi l’y oblige, étant sans-papiers. Elle a depuis été enfermée au CRA de Metz et risque une expulsion imminente.
Gvantsa, une jeune dijonnaise d’origine géorgienne a été arrêtée quelques jours avant sa rentrée en terminale. Elle est actuellement en centre de rétention à Metz et risque une expulsion vers la Géorgie, où elle n’a plus aucune attache familiale.
Après la grève, vient le temps de la répression. Jean-Michel Blanquer l’a promis, « les enseignants grévistes auront bien évidemment des sanctions financières ». À Dijon une caisse de grève a été mise en place.
Les professeur·es dijonnais·es qui retenaient les notes du bac ont rendu leur copie au Rectorat, avec beaucoup d’émotion, et sous les acclamations de la foule.
La lutte contre la loi Blanquer a pris une nouvelle ampleur avec le mouvement de rétention des notes du bac 2019. Suivi de la mobilisation à Dijon et dans ses alentours.
Dernière mise à jour le 13 juillet : une caisse de soutien pour les grévistes.
Depuis des mois des personnels enseignants, parents d’éléves et éleves se mobilisent contre la réforme Blanquer : divers rassemblements sont prévus toute la journée.
Le rendez-vous était donné au Castel à 14h, près de 300 personnes sont venues soutenir Guimba pour dénoncer l’Obligation de Quitter le Territoire qui lui a été remise par la préfecture.