Inceste
« Inceste » est une brochure, imprimée en avril 2019, qui raconte des histoires d’inceste vécues par différentes personnes.
« Inceste » est une brochure, imprimée en avril 2019, qui raconte des histoires d’inceste vécues par différentes personnes.
Ce texte a été écrit par les meufs de la Caisse de Solidarité de Lyon (puis validé par l’ensemble du collectif), à la suite de débats qui traversent un grand nombre de collectifs militants depuis de nombreuses années. Sans prétendre apporter des solutions définitives, il vise à alimenter la réflexion sur les alternatives à la justice étatique, y compris la gestion des agressions sexuelles.
À travers une analyse des discours et sur fond de crise, nous montrerons comment se construit une masculinité raciste et misogyne allant de la police jusqu’aux incels [1].
Que fait la crise au féminisme ? Que peut le féminisme pour la crise ?
À travers une émission de Radio Talweg, nous faisons un point sur la situation des femmes en cette période de confinement, et nous traçons quelques pistes tirer de l’histoire du féminisme pour se renforcer.
Montage d’interventions de Jean Stern à propos de son livre Mirage gay à Tel Aviv
Suite aux divers commentaires et messages adressés au groupe la Mistoufle FA concernant des événements organisés à destination d’un public sans hommes cisgenres, la Mistoufle FA rappelle son engagement à l’existence d’un groupe non mixte au sein de son organisation et vouloir porter un discours féministe.
Thierry Schaffauser, militant queer engagé dans le mouvement contre la réforme des retraites, analyse l’évolution des mouvements LGBT, qui conduit la majorité des associations à se tenir à distance du mouvement social en cours, à ne rien dire des discriminations vécues par les retraités LGBTIQ, et même trois associations à porter plainte contre des grévistes de la RATP, alors que ceux-ci sont menacés de révocation par leur direction.
Nous publions ce témoignage de violentes agressions physiques et sexuelles. Comme partout, les mondes en lutte sont traversés de viol et d’oppression. Le rôle des médias libres comme Dijoncter est aussi de soutenir les voix qui les dénoncent.
« Un jour, en fin de service, lorsque je finissais de débarrasser une table, j’ai reçu une main au cul par un inconnu. Mes collègues, des femmes, s’en sont aperçues assez rapidement... »
Depuis 2001, la stérilisation à visée contraceptive est légale en France, pour un système reproductif
féminin ou masculin. Oui mais...
Un court témoignage dijonnais écrit sur le vif suite à une consultation préalable à une demande de stérilisation à visée contraceptive.
« Une famille est en train de dîner. À table, les parents rigolent doucement. Leur fille Chloé vient de leur demander si en septembre ils accepteraient de l’inscrire dans un club de foot. »
“Ce livre n’est pas un livre de théorie politique, mais un livre de pratiques de lutte. Il répond à l’urgence d’apprendre à nous organiser pour faire face à ce qui est déjà là, à créer des solidarités entre personnes subissant différentes oppressions, à articuler nos espaces sans entamer nos autonomies, à nouer d’autres complicités. Ce livre invoque la puissance transformatrice dont les luttes sont parfois capables”.
Entre élans communautaires, revendications politiques, créations artistiques et questionnement éthiques, le collectif dijonnais Gang’reine nous raconte l’état des lieux du Queer à Dijon.
La femme ne se définit pas par rapport à l’homme. C’est sur cette conscience que se fondent notre lutte et notre liberté.
On a tombé le gilet samedi, et pas seulement parce que l’on n’aime pas la coupe et la couleur.
Suite au meurtre de Désirée Mariottini, le collectif Abatto i Muri réagit à la récupération politique de Salvini, et appelle les féministes du monde entier à réagir face aux féminicides.
Les Éditions la Tempête ont sorti le 1er octobre une réédition du livre de Guy Hocquenghem « Race d’Ep ! Un siècle d’images de l’homosexualité », paru une première fois en 1979. Cette exploration de l’histoire de l’homosexualité, de la naissance de ce terme (fin 19e) à l’orée des années d’hiver (fin des années 70), propose une vision de celle-ci en tant que classe, avec ses oppressions, ses révoltes, ses contradictions politiques et sa culture propre
Partir de soi pour rencontrer l’autre dans le cadre des luttes, ce n’est pas lui imposer nos règles, mais au contraire, accepter de s’engager, de laisser une part de soi dans la relation qui se noue. Au carcan étouffant du safe, nous ne pouvons qu’opposer le frisson collectif qui s’exprime lorsque nous osons ensemble affirmer nos volontés.
L’actualité du mois de janvier a vu coïncider la promotion de la sortie du dernier Star Wars avec le traitement médiatique de l’« affaire Weinstein » et du hashtag #BalanceTonPorc. Cette concomitance tout à fait fortuite offre néanmoins un angle étonnamment éclairant pour orienter un retour critique sur ce grand moment médiatique.
Le texte qui suit est tiré de l’ouvrage sorti en 1999 « Sport & Virilisme ». Il est certes très ancré dans le contexte de l’époque (d’après Coupe du Monde de 1998) ; il viendra je l’espère donner quelques billes sur les enjeux en cours pour 2018 et inciter à une réactualisation de la critique…