Alors que Dijon se targue de réaliser la première smart city française, probablement la première au monde, Christian Estrosi, maire de Nice, a encore fait parler de lui. Il paradait, tout fier du contrat passé avec une entreprise israëlienne pour permettre, via une application smartphone, aux citoyens de se faire auxiliaires de police. Sollicitée par le conseil municipal de la ville, la CNIL a fait savoir son opposition, pointant le manque de base légale du dispositif ainsi que l’atteinte « disproportionnée » au droit à la vie privée qui en résultait.