Orientalisme, drone et confinement
Parce que la surveillance policière des populations n’est pas l’apanage des ennemis de l’occident, quelques réflexions sur l’importation et l’expérimentation des drones de surveillance en ces temps de confinement.
Parce que la surveillance policière des populations n’est pas l’apanage des ennemis de l’occident, quelques réflexions sur l’importation et l’expérimentation des drones de surveillance en ces temps de confinement.
Au menu du jour, on parle des effets amplifiés du Covid sur les personnes précaires, celles qui sont dans des structures de soins psychiatriques et celles qui continuent de travailler pour enrichir les patrons. On vous propose aussi des moyens de lutter, en mettant en place des solidarités, inventant nos propres gestes barrières et en questionnant les stratégies du gouvernement contre le virus, qui reposent entre autres sur l’armée et le système judiciaire.
Aujourd’hui, une nouvelle prise d’otage : celle des éditeurs de presse par La Poste, qui distribuerait moins vite les journaux papier. Et d’ailleurs, les pigistes sont-iels de vrai·es journalistes ? Et tous ces médias et sources internet, quel charivari font-ils autour des solutions miracles au SRAS-Cov2, de la chloroquine au jus de carotte en passant par l’urine ? Le remède miracle reste bien irréel, tout comme la fameuse continuité pédagogique que nous vend Blanquer, dénoncée de toute part. Le gouvernement a en tout cas trouvé un traitement radical contre les paysan·nes qui tentent d’échapper à l’agro-business : fermer tous les marchés, en maintenant les grandes surfaces. Allons-nous nous laisser à ces docteur·es Maboul le choix des prescriptions ?
Traduction sauvage et improvisée d’un article de Paul B. Preciado paru en Espagnol. « La guérison ne peut pas être un simple geste de retrait du social, de fermeture de la communauté. La guérison ne peut que résulter d’un processus de transformation politique. »
En cette période de confinement, il convient de prendre le temps d’argumenter en faveur d’un abandon immédiat du Service National Universel (SNU). En effet, alors que des murmures annoncent un décalage du « stage de cohésion » SNU (phase 1) aux vacances de la Toussaint du fait de la crise sanitaire, nous demandons l’abandon ferme et définitif de ce dispositif coercitif et (ré)éducatif pour de nombreuses raisons.
Montage d’interventions de Jean Stern à propos de son livre Mirage gay à Tel Aviv
En peu de temps, le virus Covid-19 a complètement changé l’organisation de nos luttes. Si les incertitudes sont grandes, nous savons que les inégalités et les mesures sécuritaires vont se renforcer. S’organiser collectivement devient encore plus vital. Face à l’impossibilité de maintenir des réunions physiques, nous souhaitons transmettre ici notre expérience d’une organisation 100% à distance grâce à des outils libres qui garantissent au mieux possible notre sécurité et celle de nos camarades.
Depuis le début du confinement, nous avons été quelques un.e.s à faire le choix de continuer à se voir, de continuer nos activités et globalement sans accorder plus d’attention à des mesures d’hygiène, désormais dites« gestes barrières » contre ce virus, sauf quand une des personnes de notre entourage le demandait.
Lettre à mes camarades que je ne touche plus.
Depuis le début du confinement, nous recevons des questionnements, des témoignages venant du « monde » du travail. Nous partageons aussi avec ceux et celles qui nous appellent certaines critiques.
Le CIDTD et Précaires solidaires 21 vous livrent ici un court résumé.
Il y a un état d’exception et une mythologie guerrière. Il y a des gouvernants qui s’arrogent les mérites du courage des autres. Il y a la révélation de tout ce que notre société contient d’intolérable. Il y a un peuple qui s’organise. Il y a une situation inédite dont il pourrait être possible de tirer parti.
Point de vue d’un virus sur la ’guerre’ en cours et florilège de propositions pour élargir l’horizon actuel.
Alors que la pandémie du Covid-19 ne semble presque pas faiblir dans la quasi totalité du monde, les dirigeant-e-s politiques et économiques, européens commencent à prendre conscience que sans un Hôpital public avec des vrais moyens, il est impossible de lutter efficacement contre ce virus, et ceux qui suivront plus tard.
Suite au constat du manque criant d’information et de surtout de l’abus de très nombreux patrons qui malgré la crise essaient d’exploiter leurs employé⋅es, la CNT-SO a commencé à rédiger des fiches d’informations actualisées avec les derniers dispositifs.
Face au Covid-19, les gouvernements de tous les pays touchés déploient chaque jour un arsenal technologique innovant pour contrôler la population.
Nous sommes en train d’organiser la solidarité dans notre quartier, en distribuant du désinfectant, en nous mettant à disposition pour faire les courses des anciens, en cherchant à ne laisser personne seul, comme le font la plupart des gens dans ce pays : pas après pas, lieu après lieu. Mais le mutualisme ne peut pas suffire, nous devons trouver le moyen de prendre la parole.
Le biologiste Rob Wallace souligne la responsabilité de l’agriculture capitaliste dans l’émergence de nouvelles infections et esquisse des mesures radicales pour les empêcher, des mesures contre le capital.
Je préfèrerais ne pas voter.
Éloge du silence.
Quelques éléments pour apprécier l’ampleur de la précarité dans le monde de l’université et de la recherche.
Compte-rendu de la conférence du 31 janvier, tenue à Dijon et animée par Arié Alimi, avocat du bareau de Paris, membre de la Ligue des Droits de l’Homme.
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