
Appel à soutien pour une portion de la marche des sans-papiers
La marche des sans-papiers est à la recherche de soutien logisitique entre Lyon et Dijon.
La marche des sans-papiers est à la recherche de soutien logisitique entre Lyon et Dijon.
Ce mardi après-midi aux environs de 15h, une compagnie de CRS est venue expulser les habitants du squat de la rue Henri Becquerel. Cet ancien immeuble de bureau accueillait depuis bientôt un an entre 60 et 80 personnes exilées.
Après les manifestations parisiennes du 30 mai et du 20 juin, on va taper plus fort. En septembre des marches de sans-papiers et soutiens partiront des quatre coins du territoire pour sillonner tout le pays et convergeront pour une grande manifestation vers l’Elysée à Paris le samedi 17 octobre.
La famille Yeganyan a quitté l’Arménie pour rejoindre la France et y habite depuis plus de 5 ans. Le 20 août, la famille a été arrêtée pour être menée dans un centre de rétention dans le but d’être expulsée dans leur pays d’origine. La communauté se mobilise pour contester.
Une cinquantaine de personnes sont venues assister à la remise du courrier adressé à l’entreprise propriétaire du bâtiment occupé par des demandeur d’asile rue Becquerel, expulsable à partir du 10 juillet. Il s’agit d’une demande de rendez-vous pour trouver une autre issue que l’expulsion.
Un jeune dijonnais d’origine étrangère est attaqué au pénal pour être rentré en France sans visa alors qu’il était enfant. Le collectif soutien asile 21 appelle à se rassembler devant le tribunal jeudi 9 juillet à 8h30 pour le soutenir !
Remise de courrier et rassemblement le mercredi 8 juillet à 10h devant les locaux de la société Est Métropole, propriétaire du bâtiment, 8 rue Marcel Dassault.
Plusieurs associations anti-racistes dijonnaises appellent à un rassemblement mardi 9 juin à 18h place de la Libération, contre le racisme et les violences policières.
Report de l’audience pour l’expulsion de Becquerel, bâtiment squatté par des exilés à Dijon et suspension des mesures répressives contre les migrants. Ailleurs, la situation est critique.
Guimabe Coulibaly a rendez-vous mardi 21 janvier à l’Ecole nationale de Police de Paris à Vincennes. Le centre de rétention administrative (CRA) est sur place. Pratique quand on s’apprête à expulser un jeune malien de 20 ans. Retour sur sa situation depuis son arrivée en France, suivi d’un texte de sa main, et d’un texte du collectif lycée d’accueil international Le Castel.
Rassemblement musical pour défendre 14 élèves dijonnais·es menacé·es d’expulsion imminente. Samedi 18 janvier à 10h30 place François Rude.
Pour Guimba, ancien élève du castel, les étapes dans la procédure d’expulsion continuent et cette fois il est convoqué à l’école de police de Paris, logée à la même adresse que le Centre de Retention Administrative de Vincennes.
La préfecture ne voulant toujours pas reconnaître la validité des documents, Guimba est menacé d’expulsion à tout moment. Il nous raconte cette nouvelle phase d’assignation à résidence et pointage au commissariat et comment malgré tous ses soutiens sa situation est bloquée par le préfet.
À diffuser le plus massivement possible - Le collectif Lycée d’accueil international du Castel lance la pétition « Non à l’expulsion, un titre de séjour pour Guimba Coulibaly »
Après les manifestations du printemps dernier pour soutenir la régularisation de Guimba, lycéen du Castel sous le coût d’une OQTF, la situation n’a pas changé et s’empire.
La famille de Quadri Lyanda est à nouveau menacé d’expulsion. Rendez vous pour remettre les plus de 300 lettres d’ores et déjà signées à M. le Préfet.
En cette journée internationale des droits de l’Homme, une quarantaine d’associations organisent un rassemblement en hommage aux personnes décédées aux frontières de l’Europe.
L’association Solmiré appelle à un rassemblement contre le système Dublin. Absurde et inhumain, ce système — qui attribue l’examen des demandes d’asile à l’État membre par lequel la personne exilée est entrée dans l’UE — rajoute encore à la précarité des demandeurs d’asile.
Les représentant-es des personnels de l’académie de Dijon expriment leur indignation et leur inquiétude sur la situation des élèves mineurs et jeunes majeurs étrangers scolarisés dans l’académie de Dijon.
Programme complet de la Semaine sans Frontières qui aura lieu à la mi-novembre dans tout Dijon : projections, discussions, fête et moments de rencontre avec des collectifs parisiens.