Jeudi 20 mai au TGI de Dijon, deux prévenus comparaissaient pour des violences qualifiées d’inouïes. Après trois renvois dont l’un pour une « perte du dossier », les parties civiles ont enfin pu exprimer leur désarroi et obtenir réparation. Eddy M. et Julie D. ont été reconnus coupables, lourdement condamnés malgré l’absence d’antécédents. Une audience qui fait écho aux convictions extrémistes du principal accusé, bien qu’elles n’aient pas émergé durant les poursuites. Car cette caractéristique pourrait être une clé, et nourrir d’autres affaires à ce jour sans suites.