
À la Préfecture du Doubs, le ballet des manifestations interdites
« En moins de cinq ans, dans le département du Doubs ce sont pas moins de 137 interdictions de manifestations qui ont été recensées par nos soins. »
« En moins de cinq ans, dans le département du Doubs ce sont pas moins de 137 interdictions de manifestations qui ont été recensées par nos soins. »
La famille de Check Camara, retrouvé mort au Port du Canal le 10 juillet 2023, cherche a faire la lumière sur les circonstances de son décès. Elle appelle à une marche ce samedi 29 juillet 2023.
90 organisations dénoncent la politique du gouvernement vis à vis des quartiers et appellent à des rassemblements dans toute la France samedi 8 juillet. A Dijon, rdv à 14h30 place de la République.
Récit de l’expulsion de personnes exilées de leur logement situé rue des Marmuzots. Entretien avec un demandeur d’asile tchadien, réalisé au Quartier Libre des Lentillères, qui héberge temporairement une partie des personnes expulsées.
Le "festival des véhicules de police d’exception" devait se dérouler les 7, 8 et 9 juillet à Dijon et Beaune. Il a été annulé « par mesure de prudence », c’est à dire grâce à la révolte des banlieues suite au meurtre par un policier de Nahel, un habitant de Nanterre, mardi 27 juin.
Récit d’une enseignante de l’école Champollion aux Grésilles suite à l’incendie qui a détruit une classe et détérioré gravement le rez-de-chaussé de l’établissement samedi après midi.
Si la situation est moins chaude qu’en milieu de semaine dernière, les incendies et affrontements avec la police ont quand même continué dans le département. Les premières condamnations sont tombées ce dimanche.
Pour la 4e nuit consécutive, la colère s’est exprimée dans les quartiers populaires de l’agglomération dijonnaise (et au-delà), suite au meurtre de Nahel mardi dernier à Nanterre, abattu au volant de son véhicule par un policier.
Troisième nuit de révolte dans les quartiers populaire de l’agglomération dijonnaise, après le meurtre de Nahel par un policier, mardi 27 juin à Nanterre.
Entre le 28 et le 29 juin et pour la deuxième nuit consécutive, suite à la mort de Nahel à Nanterre, toute la Bougogne Franche-Comté voit des révoltes éclater dans différents endroits.
Ce mercredi, rassemblements contre la dissolution des Soulèvements de la Terre à Dijon, Beaune, Montbard, Chalon-sur-Saône, Auxerre, Nevers, Clamecy, Lons-le-Saunier, Besançon, Montbéliard et dans une centaine de villes en France.
Après l’incroyable Pride d’hier, les flics ont arrêtés deux personnes histoire de nous pourrir la fête. Elles ont été emmenées en garde-à-vue au commissariat de la Place Suquet et ne sont toujours pas sorties.
Mercredi 21 juin, 250 personnes se sont réunies devant la Préfecture contre la dissolution des Soulèvements de la terre. Un mystérieux comité dijonnais pour la dissolution heureuse y a dissous des portraits de l’infâme ministre Gerald Darmanin.
Rdv mercredi 21 juin à 19h devant la préfecture !
Suite à la vague d’arrestations qui ont eu lieu lundi 5 juin et face à la répression des mouvements écologistes et sociaux, le Comité Soulèvements de la Terre Dijon appelle à rejoindre le rassemblement contre l’intimidation et la répression jeudi 8 juin à 18h30 devant la préfecture de Côte-d’Or.
38 concitoyen.nes ont reçu un ou plusieurs courrier du tribunal de police de Dijon les enjoignant de reconnaître qu’ils et elles ont participé à une manifestation interdite par la préfecture. Face à cette intimidation ubuesque, rassemblons-nous jeudi 8 juin à 18h30 devant la préfecture de Côte-d’Or !
Depuis près de 10 jours, plusieurs Dijonnais·es reçoivent par voie postale des amendes et des courriers de « demande de renseignements ».
Formation à la défense numérique dans le milieu du militantisme à Dijon le 10 Juin
De mai à juin 4 conférences-débats organisé par le Mouvement de la paix de Côte d’Or et le Cercle Condorcet de Dijon.
Mardi 16 mai avait lieu une manifestation contre la venu de Zemmour, pour une séance de dédicace à la librairie la Bonne source à Dijon. La manifestation a été durement réprimée, l’union syndicale Solidaire 21 revient sur les faits.