L’État français continue ses raids guerriers dans les quartiers post-colonialistes du Nord Franche-Comté. La population majoritairement prolétaire et précaire subit un acharnement de la part de tous les dominants bourgeois et leurs armes diverses et variées. La combinaison est puissante : Justice, gouvernement Macron, Préfectures de 3 départements (25-90-70), politiciens locaux de tous bords, médias dominants locaux et nationaux, fascistes du RN/FN, gendarmerie et police de tout l’Est de la France, CRS, gendarmes mobiles, caméras de surveillance, police municipale, grenades de désencerclement, grenades fumigènes, tasers, gazeuses, tonfas, menottes, équipe cynophile et de nombreux véhicules.